Interrompu en train de glander...

Mhenlo était en train de dormir affalé sur son canapé lorsque quelqu'un vint frapper à sa porte. Patou, son chat, qui était allongé sur son ventre, grogna...Mhenlo le connaissait, ce n'était non pas parce que la personne derrière la porte semblait méchante(son chat était bien trop flemmard pour renifler son aura) mais parce qu'il ne voulait pas que Mhenlo se lève.Le ruhks dut néanmoins se bouger lorsqu'on refrappa à la porte avec plus d'insistance.
-Ouais deux secondes je...je lisais!s'écria Mhenlo en saisissant un livre qui trainait.
Si la personne derrière la porte était importante, il ne valait mieux pas qu'elle sache que Mhenlo était en train de glander...il fallait sauver les apparences. Il ouvrit la porte, suivi de Patou.

La nuit avait était mouvementé pour Kamira. Non pas parcequ'elle avait danser nue sur des table pour des hommes ivres, ou commis un vol, non...juste pacequ'elle avait du régler des choses et d'autre et c'était fait poursuivre par de Runks durant la nuit. Encore heureux elle était masqué à cette instant et leur avait échapper de justesse en entrant dans la boite à streap-tease où elle avait danser, comme si de rien n'était, durant que les Runks la cherchaitent.

Après quoi elle était rentré chez elle, fatigué. Elle ne c'était réveiller que vers midi. Après quoi, elle ne sais trop pourquoi, elle décida de ranger son sac. Fouillant elle trouva un adresse. Elle ne savait pas trop à qui elle appartenait et apres avoir réfléchit, décida de vérifier.

Elle se doucha, enfila un jupe violette et un pull gris, long, des botte fouré et une bandeau, laissant dépasser sa frange.

Une heure plus tard elle sonné à une porte. Elle s'y reprit à deux foix puis lorsqu'il vouvrit elle poussa une exclamation.

-Mhenlo!

Elle lui souria puis dit.

-Je..j'ai retouver ton adresse alors me suis dit que je pouerri venir...vérifier à qui était l'adresse.

Elle lui souria génée.

-Je suis peiné qu'on puisse m'oublier comme ça!, dit-il en prenant une mine faussement offensée. (il reprit son sérieux et invita la Râkshasa à entrer). Alors voici Patou, mon chat... Il est encore plus glandeur que moi(si c'est possible).

L'appartement de Mhenlo était vraiment grand. Mais il fallait dire qu'il travaillait dans les trois quarts des bars de la ville, alors il avait intérêt à avoir un bel appartement. La porte d'entrée donnait sur le milieur d'une grande salle de séjour d'à peu près 25 mètres carrés. Il y avait deux canapés à droite, autour d'une table basse, et légèrement tournés vers un écran plat contre le mur. A gauche, il y avait une table en verre et une cuisine américaine. Une porte donnait sur un couloir au bout duquel se trouvait la chambre de Mhenlo, composée d'un grand lit deux places et donnant un accès sur la terrasse par une baie vitrée. La terrasse offrait une vue imprenable sur Kage Machi. En effet l'appartement de Mhenlo était au 9ème étage dans l'un des immeubles les plus hauts de la ville. Le couloir donnait également sur une salle de bain suréquippée. Mhenlo fit faire la visite à Kamira puis alla s'assoir sur un des canapés moelleux en proposant à Kamira d'en faire de même. Il entrecroisa ses mains et fixa son regard doré dans celui de la strip-teaseuse.

-Alors maintenant qu'on y est... On fait quoi? Mais avant tout, as-tu mangé?

Kamira ne répondit que par un sourire narquois aux parole de Mhenlo. Elle entra dans l'a^ppartement quand il l'y invita puis souria en voyant le chat. C'que c'était meugnon. Après quoi un tour de l'habitacle s'imposa. KAmira regarda, impréssionnée, l'appartement. IL était luxieux, bien garnit, et plus grand que le sien. En même temp KAmira vivait dans un appartement simple et la chose la plus lyxieuse qui s'y trouvait était son écran plas. Oui cet appartement était la réplique agrandit, si l'on puis dire, de celui de KAmira. Ce la la fit sourire.

LA visite finit, ils retournèrent au salon. Le regard de Kamira croisa celui de Mhenlo et elle dût réprimer un rire. IL avait l'air drôle avec cet air presque sérieux, et elle adorer voir quelqu'un d'autre avec des yeux doré. C'était frot agréable.

-Non ne t'inquiete pas pour mon ventre. J'ai mangé avant de venir. Tu a un sacré bel appart. ON dirai le mien en plus grand.

Ses yeux se détachèren de ceux de Mhenlo et elle retroussa ses manches. Un souvenir lui revint en mémoire, la faisant sourire. Un souvenir? Oui celui de leur rencontre qui c'était finit en chevauchage. Elle dit d'un ton dégagé alors, sur le ton de la conversation.

-J'aurai droit à une autre service?

Phrase pleine de sous-entendus. Comprendrait-il? EN tout cas elle riant déja.

Mhenlo sourit à la réponse de la Râkshasa. C'était la première qu'il croisait une fille avec qui il avait déjà eu une relation sexuelle et qui, bien qu'elle savait que c'était purement physique, en redemandait. "Va savoir", lui dit-il, les yeux plein de malice. Il s'affala contre le dossier du moelleux canapé et ramena sa main droite contre sa tempe, son index et son majeur étant en contact avec sa peau. Il la détailla un peu plus encore qu'il ne l'avait déjà fait auparavant. Ses cheveux noirs de jais étaient attaché avec un bandeau, tandis que ses yeux eux aussi dorés le détaillait lui aussi. Elle avait revetu une jupe et un pull et l'ensemble était loin d'être désagréable à regarder. Mhenlo se leva lentement puis alla chercher dans un placard de la cuisine un beaujolais nouveau grand cru, autrement dit l'un des vins rouges les plus chers du monde. Son oncle travaillait dans le vin, ce qui expliquait la présence de ses bouteilles dans son placard. Il proposa un verre à la Râkshasa qui accepta. Il revint donc avec deux verres et la bouteille qu'il déposa sur la table basse entre eux. Puis pendant qu'ils buvaient à petites gorgées, il se posa soudain une question:

-Je sais que je change de sujet mais... T'as quelqu'un dans la vie? (il rajouta ironiquement) Enfin j'veux dire à part moi bien sûr .

KAmira accepta sans broncher le vin. Elle n'était pas habituée à en boire, mais les rares fois où elle en buvait, elle savait apprécier le gout suptile et délicat du liquide qui carressait les papilles. Un liquide sucré et acre en même temp, mais toujours plaisant. Elle laissa le liquide couler le long de sa gorge, répendant sur son passage ce gout noble, comme la boisson, buvant avec lenteur afin d'en savourer tout l'arôme, suptile.
De temp à autre son regard se hasardait à détailler Mhenlo, à retrouver sous ses vêtements le corp qui c'était frotté avec sensualité au sien, le corp qui l'avait fait frémir et gémir.
Un sourire se déssina doucement sur son visage, discret, de coin, jusqu'à ce qu'elle entende la voix du jeune homme.
Sonregard se posa sur le verre de vin qu'elle tourna entre ses mains puis elle dit.

- Non personne, j'ai bien peur que tu sois le seul

Elle finit le verre, il ne restait qu'un mince fond. Le verre vide, elle le posa sur la table. Après avoir regarder courtement dans le vague elle dis.

-Et toi, quelqu'un? Homme ou femme?

Un sourire se décina un nouvelle fois sur son visage, un sourire gracieux.

Mhenlo réfléchit un moment à la question de la Râkshasa tout en terminant son verre. Non, il n'avait aucune relation sérieuse ces temps-ci, et la relatiion qu'il entretenait avec Kamira n'était pas ce qu'on pouvait qualifier d'amour. C'était plutôt purement sexuel. Mais terriblement apaisant... Le Ruhks n'avait jamais pris autant de plaisir qu'avec Kamira. Aussi il répondit:

-Non pas vraiment de relations sérieuses. Enfin pour toi notre relation peut-elle être qualifiée ainsi? Je ne pense pas...

Il se resservit lentement, les yeux braqués sur la râkshasa. Il ramena ensuite lentement son verre jusqu'à sa bouche pour y boire (ah bon?) par petites gorgées. Puis arrivé à la moitié il le reposa et se passa la main sur le menton en continuant de se le frotter avec l'index. Finalement il lâcha:

-Mais pourrait-elle le devenir?

Son ton était à la fois sérieux et malicieux, et son sourcil se leva pour souligner la question.

Kamira avait finit par s'adosser au fauteil, fermant les yeux comme pour s'abbaiser. Néanmois elle gardait une oreille attentif et écoutait Mhenlo. La, non les, question qu'ils se posaient méritaient reflexion. Un doigts sur les lêvres, ses yeux dorés rivé vers le plafond, une petite moue charmeuse sur le visage, elle réfléchissait. Finalement elle finit par posser ses mains sur ses genoux, son regard sur Mhenlo et dit tout naturellemtnt.

Je pense que entre nous il s'agit de sexe. MAintenat si un jours quelque chose doit fleurire de notre relation il en sera ainsi. MAis pour cela il faudra donner toute sa confiance à l'autre et...je ne donne jamais entièrement ma confiance.

Elle lui adressa un charmand sourire avant de se redresser et de parcourire un peu le salon. Son regard s'arreta sur un mur, comme ça. Après être rester immobille elle revint s'assoir sans un mot, ayant laisser le temp à Mhenlo de réfléchir. Alors elle lui demanda à son tours son avis.

Le jeune homme écouta la réponse de la Râkshasa, puis regarda son petit manège en continuant de siroter son verre de vin. Elle revint enfin s'assoir face à lui après lui a voir laissé le temps de songer à sa réponse. La belle voleuse lui demanda alors son avis.

-A vrai dire... Nos deux versions sont assez similaires. Je ne pense pas que cette relation soit faite pour devenir sérieuse, mais après tout pourquoi pas une relation durable non sérieuse? Et puis de toute façon je ne suis pas... ou plus du genre à donner ma confiance, comme toi.

Il vida son verre d'un coup, comme agacé par l'évocation de son passé. Il posa son verre sur la table basse puis releva les yeux vers Kamira. Il se remémora la sensation de son corps contre le sien lors de leur... rencontre dans le bar. a quoi pensait-elle en ce moment? Il n'en savait rien, et le mystère qui l'entourait la rendait encore plus attirante à ses yeux. Il avait terriblement envie d'elle à ce moment là, mais... il avait trop la flemme de se lever...

L'ene de lambiner sur le canapé était réelement forte. Mhenlo dégager une sensation de fatigue appaisante qui laisser Kamira sourde de toutes activité qui consistait à bouger. Mais bon...Il fallais un peu de tenue, ou au moin demander.
Une sort de miaulement s'échappa de ses lêvres, alors qu'elle s'étira doucement avant de se lever et fair face à Mhenlo, à genoux devant lui, les mains sur ses jambes le visage pret du sien. Son yeux doré restait quelque peu caché par le voile d'ébène de ses cheveux alors qu'elle plongea son regard de voleuse dans le sien. Un murmure rompit le silence installée, doux, quelque peu aguicheur et sensuel.

-J'espère que cela ne te gène pas si je vint à fair ça....

Elle releva le visage, fermant les yeux, frôla ses lêvres des siennes mais bien vite se réavisa, reculant le visage pour n'entamer un baiser. Ses mains n'avaient bougé, toujours sur les genoux du jeune homme. PLus haut leur nez s'effleurer et le regard de la jeune femme, étincelant ne se détournait pas de celui de Mhenlo.

Le jeune homme frémit lorsque celle qui lui faisait face se rapprocha. Heureusement qu'elle le faisait, car lui, il n'aurait jamais eu le courage de se lancer! D'une vois presque douloureusement sensuelle, elle lui murmura quelque chose qu'il ne comprit presque pas, trop absorbé par sa silhouette et ses formes admirablement bien proportionnées. Leurs lèvres se frôlèrent puis elle se retira, son regard doré si similaire au sien le regardant d'un air "attrape moi si tu peux". Après avoir murmuré "Pas le moins du monde..." avec un sourire, il rapprocha son visage du sien et, enfin, après une attente qui lui sembla interminable, leurs lèvres entrèrent en contact. Il ferma les yeux tandis que ses mains se déplaçaient lentement dans le dos de la belle et qu'il la calait entre ses jambes. Sa peau douce lui procurait des frissons, tandis que leur baiser s'éternisait. Il le stoppa enfin puis la retourna. Elle se retrouva sur le fauteuil tandis que lui la surplombait. Il lui renvoya ensuite sa question, d'une voix tout aussi sensuelle:

-Et toi? Aller plus loin ne te dérangerait pas?

Tout en disant cela, une de ses mains descendit le long du dos de la voleuse, passant sous la jupe, et lui montrant bien que, lui, cela ne le dérangeait pas...

Aucune réponse digne de se nom ne doit trop se faire laguir, et la date de péremption de le venue du baiser n'était atteinte lorsque leur lêvres se rencontrèrent. Une nouvelle fois elle sentit le goût suave de la virilité, corsé et ennivrante alors que ses mains brune se glissaient lentement à la taille du serveur. Un fin frisson parcourut son échine lorsqu'elle sentit ses mains d'homme à son dos et malgré elle son coeur bondit dans sa poitrine lorsqu'il la rapprocha.
Leur lêvres se quittèrent comme Kamira quitta terre pour se retrouver sous lui. Cela ne a génnait en rien, elle trouver cela exitant. Ses yeux se fermèrent sous ses carresse, sa respiration s'approfondit et finalement ellui lui répondit dans un murmure qu'elle désirait aller plus loin.
Ses propre mains se glissèrent au buste du jeune homme, le carressant, descendant lentement pour le dévétir alors qu'elle recupéré ses lêvres pour l'embraser avec une fougue que celle l'envie donnait.

Pendant que le souffle de Kamira s'accélérait, soulevant sa poitrine, le jeune homme se rendit compte, une fois de plus, que la belle voleuse était terriblement séduisante et désirable. Il répondit à son engouement par de multiples caresses et se laissa entraîner, tandis que ses lèvres se rapprochaient des siennes pour échanger un nouveau baiser passionné. Il aspirait un air qui venait des poumons de Kamira, et elle faisait de même. Elle était devenue son souffle, et lui le sien. Il se pressa encore davantage contre elle et enroula une de ses jambes autour d'une des siennes. Il lui enleva son pull tandis qu'elle s'occupait de son pantalon, sans cesser de la serrer contre lui et de la carresser. Une de ses mains vint ensuite se plaquer derièrre sa nuque, tandis que l'autre redescendait vers la jupe de la jeune femme. Après l'avoir totalement déshabillé, sa main parcourut en douceur les points érogènes de son coeur, tandis que son pénis en érection commençait à titiller son sexe. Puis il décida d'expérimenter une nouvelle... manière de procurer du plaisir à sa partenaire. Après lui avoir mordiller la lèvre inférieure, il descendit lentement, s'attardant dans son cou pour la suçoter ou près de ses seins pour les couvrir de baisers. Après avoir suçoté ses tétons, il descendit encore, continuant de ses mains à la serrer contre lui en douceur. Enfin, quand il se retrouva face à son sexe, il en lécha le pourtour, puis se mit à en titiller le clitoris du bout de la langue. Ses mains descendirent en caressant ses flancs jusqu'à ses cuisses, et il en profita pour les frôler du bout des doigts, dans une nouvelle caresse sensuelle. Après s'être introduit un peu plus en profondeur dans le vagin de la jeune femme et lui avoir effleuré les parties les plus érogènes de son corps, il remonta vers son visage, sans manquer de s'attarder une nouvelle fois sur ses seins si généreux. Enfin, il se retrouva face à elle, brûlant d'envie et de désir. Il la ramena un peu contre lui avant de se relever. Il voulait l'entrainer vers sa chambre, mais il décida finalement de s'allonger sur le canapé, trop impatient de sentir de nouveau son corps ivre de plaisir contre le sien. Elle se retrouva sur lui, le dominant de son corps, beau à en couper le souffle. Un souvenir lui traversa l'esprit lorsqu'il vit une légère entaille qu'elle avait sur le bras, mais il décida de remmettre cette question à plus tard. Il se lança dans un léger va et vient avec ses mains, le long des flancs de sa belle partenaire, attendant une réponse de sa part sans ralentir le rythme.

Le désir grimpait au fur et à mesure que les caresses allaient. Petit à petit le temps s’estompait et la pièce s’effaçait, alors que Kamira s’occupait d’offrir un gracieux et langoureux baiser à son amant de l’instant, lui offrant de sensuels et encourageants touché. Même le dévêtir sembla à ses yeux une caresse, alors qu’elle délaissait ses chaudes lèvres pour les glisser à son cou et, en lui effleurant la peau, remontant à ses oreilles pour les mordiller alors que ni sa jupe, ni son pull, et encore moins sous-vêtement ne la couvrait encore.
Collant sa peau brulante de désir contre la sienne, lui offrant le doux et vigoureux contact, la voleuse regarda de ses yeux à la couleur et l’intensité de l’or coulant, son compagnon de race descendre lentement son corps, lui prodiguant un plaisir qui lui arrachait de longs soupire et approfondissait sa respiration, soulevant sa poitrine en un rythme lent et prononcé. La sensation de Mhenlo à ses seins lui arracha un faible gémissement, alors qu’elle portait, une main à ses yeux, lâchant une cascade de soupirs encourageants. Lord que la descente reprit, il fut de plus en plus difficile de contenir sa chaleur et de longs soupire s’échappèrent, encore et encore de ses lèvres. Et en sentant celle de Mhenlo si proche de son intimité déjà humide, elle se cambra un peu, bombant la poitrine jusqu’à, sous la pression du plaisir, qu’un autre gémissement alors qu’elle portait une main à ses yeux, l’autre à sa poitrine, qui se soulevait en un rythme profond et rapide, ses lèvre laissant échapper une cascade de soupires encourageants. Lorsque la descente reprit, il fut de plus en plus difficile de contenir la chaleur et les longs soupirs. Et en sentant les lèvres de Mhenlo si proche de son intimité, elle se cambra un peu, bombant sa poitrine jusqu’à se que, sous la trop grande pression du plaisir, qu’un autre gémissement ne lui échappe. Sa main remonta dans sa chevelure, l’autre toujours sur sa poitrine dont les bouts pointaient sans pudeur. Le corps de son charmant amant lui échappa dans un souffle, et peu après cet alléchant corps de mâle la remonter en une longue et suave caresse des lèvres jusqu’aux sienne, échauffant son envie. Elle posa ses mains à ses épaules avant de basculer pour le surplomber, sans quitter ses lèvres pour ne rompre le fougueux et langoureux baiser qu’ils échangeaient. L’envie de lui grimpait alors que ses mains de voleuse descendaient en une lente et sensuelle caresse pour se saisir de son membre dressé et l’appuyer à l’entré de son jardin avant de le faire entrer lentement, ses doigts allant à son buste pour lui prodiguer de longue et passionnelles caresses.
Maintenant ils ne faisaient plus qu’un. Un soupire ce perdit sur les lèvres du barman alors qu’immobile et empalé à son membre, Kamira lui offrait un regard des plus aguicheurs et brulant, tant d’envie que de plaisir. Alors ses hanches commencèrent à se mouvaient, en des vas et viens doux et lents. Ses boucles noires bondissaient sur ses seins à chaque coup de bassin. Il n’y avait plus d’autre bruit que celui des soupires perdue, de faibles gémissement et du claquement de deux peaux, l’une contre l’autre.